J’ai 59 ans, et après dix années de pratique en tant que psychanalyste, j’ai suivi un chemin qui m’a menée naturellement vers la kinésiologie. Ce parcours n’est pas une succession d’étapes disjointes, mais l’expression d’une quête unique : celle de l’être dans sa globalité.
Dans ma pratique, j’accueille chaque personne comme un être en chemin, traversé par des mémoires, des tensions, des héritages… mais aussi par une force intérieure propre. L’accompagnement que je propose n’est ni une réparation, ni une solution extérieure. C’est une invitation à se relier, à ressentir, à réintégrer. À habiter le mouvement de la vie.
Cette phrase m’est venue au fil de ma formation, puis lors de la rédaction de mon mémoire sur le rôle de l’épigénétique en kinésiologie. Elle est devenue un repère. Elle exprime l’essentiel de ma posture : offrir un cadre d’écoute, un espace de résonance, où corps, émotions, énergie et sens peuvent retrouver leur cohérence. Car parfois, il suffit qu’un lien se restaure, qu’un espace s’ouvre… pour que la personne retrouve en elle-même la liberté d’avancer à son propre rythme. Non pour guérir, mais pour habiter pleinement sa vie.
Le test musculaire est l’outil central de ma pratique. Il me permet d’entrer en communication avec les mémoires du corps en exerçant une légère pression sur un muscle. On observe sa réponse pour identifier avec précision et douceur les déséquilibres, blocages et schémas répétitifs et ainsi libérer les stress inscrits dans le corps pour retrouver sa justesse intérieure.
J’ai validé mon cursus auprès de Patricia Leclerc fondatrice de Kinésiocréative après plus de 600 heures de formation. Elle-même a été formée au contact direct de Daniel Whiteside et Gordon Stokes, figures pionnières de la kinésiologie. J’en suis profondément fière.
Aujourd’hui, je mets mon expérience et ma sensibilité au service de celles et ceux qui souhaitent retrouver leur équilibre, dans un cadre bienveillant, respectueux et profondément humain.
Tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime dans le corps.
